L'ASSASSIN ROYAL
tome 4, le poison de la vengeance
Robin Hobb, 1997
Fantasy Tome 04/13
Langue française - 414 pages
Lecture livre.
Tome 1 - Tome 2 - Tome 3 - Tome 5 - Tome 6
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tome 4, le poison de la vengeance
Robin Hobb, 1997
Fantasy Tome 04/13
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Possible spoilers. Au royaume de Castelcerf, le prince Royal est parvenu à s'emparer du pouvoir, au détriment de l'héritier légitime, son frère aîné, le prince Vérité. Partagé entre des valeurs civilisatrices et la Nature qu'incarne son vieux complice, le loup Oeil-de-Nuit, Fitz décide de tuer l'usurpateur.
Avis
Le tome 3 avait été un gros coup de cœur à Noël et j'ai mis longtemps à commencer ce roman (et à le terminer ! pas moins de dix semaines...) mais j'ai adoré cette lecture qui m'a empêché d'entamer un autre roman à sa suite, peut-être parce que les tomes 4, 5 et 6 font partie du même opus à l'origine... Plus j'avance dans ma lecture, plus je suis portée par ces romans et je regrette de ne pas les avoir commencés plus tôt.
Dès le début, nous nous souvenons de la fin très dure du tome précédent, un véritable arrache-cœur. Les rappels sont très efficaces et les ellipses prenantes et magistralement placées. L'émotion est palpable, que ce soit à travers le combat intérieur de Fitz ou dans ses relations avec Burrich et Umbre. En cela, le début du roman est complexe, car nos émotions sont complétement chamboulées. L'écriture et le vocabulaire utilisé par Robin Hobb (et à travers la plume de son traducteur) sont une nouvelle fois une véritable pépite.
Malgré le peu de dialogue, que certains ont pu critiquer, nous voyageons avec Fitz et découvrons les paysages, personnages croisés, mais également Œil-de-Nuit qui a bien grandi. Nous en apprenons plus sur le vif, sur la force de l'Art. On en apprend également plus sur notre héros (ou anti-héros), par la mise en avant de ses faiblesses et crédulités, ses hésitations et méfiances, par ses décisions teintées de haine et de peur, par les réflexions qu'il se fait sur lui-même et sa vie abandonnée, obscurcie par son but ultime, le premier choix qu'il semble faire uniquement pour lui-même.
L'action de ce tome est peu présente, certes, mais elle est repoussée pour être bien plus... Puissante lorsqu'elle arrive. Les scènes s'enchainent, le tout est fluide, l'écriture est superbe, et la fin explosive, donnant envie de lire le tome suivant ! On ne peut pas rester de marbre face à certaines scènes d'Art ou encore par le Cirque du Roi. Malgré l'absence de nombreux personnages, on en apprend plus sur des personnages que j'adore : Burrich, Patience, Chevalerie, le mystère entourant le départ de Molly (je suis contente d'avoir vu juste !), et l'arrivée de nouveaux personnages comme Tassin (je n'en parlerai pas, je ne souhaite pas hurler...), ou encore Astérie.
Pour conclure... Ce tome transitoire, entre un Fitz encore enfant parfois et l'homme qu'il est devenu après la fin du troisième tome. Fort en émotion, ce roman marque le début de la fin du premier cycle de L'Assassin Royal et, dans la foulée, j'ai dévoré le tome 5. Le tome 6 attend patiemment...
Dès le début, nous nous souvenons de la fin très dure du tome précédent, un véritable arrache-cœur. Les rappels sont très efficaces et les ellipses prenantes et magistralement placées. L'émotion est palpable, que ce soit à travers le combat intérieur de Fitz ou dans ses relations avec Burrich et Umbre. En cela, le début du roman est complexe, car nos émotions sont complétement chamboulées. L'écriture et le vocabulaire utilisé par Robin Hobb (et à travers la plume de son traducteur) sont une nouvelle fois une véritable pépite.
Malgré le peu de dialogue, que certains ont pu critiquer, nous voyageons avec Fitz et découvrons les paysages, personnages croisés, mais également Œil-de-Nuit qui a bien grandi. Nous en apprenons plus sur le vif, sur la force de l'Art. On en apprend également plus sur notre héros (ou anti-héros), par la mise en avant de ses faiblesses et crédulités, ses hésitations et méfiances, par ses décisions teintées de haine et de peur, par les réflexions qu'il se fait sur lui-même et sa vie abandonnée, obscurcie par son but ultime, le premier choix qu'il semble faire uniquement pour lui-même.
L'action de ce tome est peu présente, certes, mais elle est repoussée pour être bien plus... Puissante lorsqu'elle arrive. Les scènes s'enchainent, le tout est fluide, l'écriture est superbe, et la fin explosive, donnant envie de lire le tome suivant ! On ne peut pas rester de marbre face à certaines scènes d'Art ou encore par le Cirque du Roi. Malgré l'absence de nombreux personnages, on en apprend plus sur des personnages que j'adore : Burrich, Patience, Chevalerie, le mystère entourant le départ de Molly (je suis contente d'avoir vu juste !), et l'arrivée de nouveaux personnages comme Tassin (je n'en parlerai pas, je ne souhaite pas hurler...), ou encore Astérie.
Pour conclure... Ce tome transitoire, entre un Fitz encore enfant parfois et l'homme qu'il est devenu après la fin du troisième tome. Fort en émotion, ce roman marque le début de la fin du premier cycle de L'Assassin Royal et, dans la foulée, j'ai dévoré le tome 5. Le tome 6 attend patiemment...
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Vous l'avez lu ? N'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé !
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J'ai aimé tous les tomes de ce premier cycle que j'ai dévoré les uns à la suite des autres. Tu comptes lire les aventuriers de la mer entre les deux cycles de l'assassin royal ?
RépondreSupprimerPerso, j'ai lu le premier cycle il y a plus d'un an et là je lis les aventuriers de la mer. Je regrette de ne pas avoir commencé plus tôt tellement c'est génial. Je pensais que rien n'égalerait l'assassin royal (d'où ma pause), mais Robin Hobb a confirmé son talent.
J'ai hâte de lire tes chroniques sur les tomes suivants, elle me remettent dans le bain pour le deuxième cycle et sont bien écrites.
Déjà, merci beaucoup pour ton commentaire, ça fait vraiment plaisir de lire ça *_* Ensuite, oui, après la lecture du tome 6, je ferai la pause les Aventuriers de la Mer :) Je crois qu'on y retrouve le Fou (ah ce que je l'aime ♥), elle a une superbe plume ! Tu me rends impatiente !! :)
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