Rencontre avec Eric Descamps
Bonjour à tous !
Le 31 août sur LivrAddict, Natalie nous a annoncée la rencontre avec l'auteur d'Innocenti. (Cliquez sur le lien pour accéder à ma chronique). Et ce jeudi 17 septembre, l'heure était enfin arrivée : les questions ont commencé à fuser sur le site. Voilà mes questions et ses réponses.
- Bonjour. Déjà, merci pour cette proposition de rendez-vous et à Eric Descamps pour nous avoir offert ce livre qui m'a été très agréable à sa lecture.
- J'ai souhaité en créer le début et la fin Roman dans la réalité pour lui donner une accroche À laquelle nous pouvons tous nous identifier. Il en va de même pour les personnages notamment Vincent, qui est quelqu'un d'ordinaire à qui il arrive quelque chose d'extraordinaire.
Le mois de janvier 2013, a été tout de suite trouvé... Pour l'épilogue et le dramatique événement de janvier 2015, c'est l'actualité qui s'est imposé à moi...
- Comment écrivez-vous ? Je ne parle pas de trame, mais plutôt : est-ce des sessions intensives ? Par ordinateur ou à la main puis recopiée (que ce soit ou non par dictée), ou encore est-ce que vous écrivez quand ça vous vient ?
Comment j'écris... Tout d'abord il faut savoir que l'écriture n'a jamais été un métier pour moi. J'écris donc quand j'en ai le temps...
Il y a la saison de la lecture et la saison de l'écriture: en janvier 2014, j'ai démarré la rédaction de Innocenti. Et comme si j'étais mon propre lecteur où le spectateur d'une série, j'écris le soir, une heure ou deux selon le temps dont je dispose ou le sommeil... Durant un an je n'ai lu aucun livre: je lisais le mien, et j'inventais le fil de l'eau...
C'est mon divertissement du soir!
Ensuite tout s'accélère lorsque que durant deux mois les travaux de relecture s'accumulent... C'est là qu'il convient de lutter contre l'impatience voir son livre publié. Le faite d'être son propre éditeur procure évidemment plein d'avantages... Et permet de calmer son impatience!
(Atine Nenaud édite aussi quelques auteurs, je ne suis pas tout seul)...
note: lorsque j'écris je n'ai utilise jamais un système de dictée électronique je crois que j'en serais incapable.
Le 31 août sur LivrAddict, Natalie nous a annoncée la rencontre avec l'auteur d'Innocenti. (Cliquez sur le lien pour accéder à ma chronique). Et ce jeudi 17 septembre, l'heure était enfin arrivée : les questions ont commencé à fuser sur le site. Voilà mes questions et ses réponses.
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- Bonjour. Déjà, merci pour cette proposition de rendez-vous et à Eric Descamps pour nous avoir offert ce livre qui m'a été très agréable à sa lecture.
La première chose qui m'a vraiment plu est l'ancrage au réel qui a été vraiment très poussée, est-ce une volonté de votre part de donner des noms, des sigles et des dates précises de telle sorte qu'un lecteur pointilleux puisse aller vérifier et découvrir qu'il y a bel et bien eu des manifestations ces jours-là ?
- J'ai souhaité en créer le début et la fin Roman dans la réalité pour lui donner une accroche À laquelle nous pouvons tous nous identifier. Il en va de même pour les personnages notamment Vincent, qui est quelqu'un d'ordinaire à qui il arrive quelque chose d'extraordinaire.
Le mois de janvier 2013, a été tout de suite trouvé... Pour l'épilogue et le dramatique événement de janvier 2015, c'est l'actualité qui s'est imposé à moi...
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- Comment écrivez-vous ? Je ne parle pas de trame, mais plutôt : est-ce des sessions intensives ? Par ordinateur ou à la main puis recopiée (que ce soit ou non par dictée), ou encore est-ce que vous écrivez quand ça vous vient ?
Comment j'écris... Tout d'abord il faut savoir que l'écriture n'a jamais été un métier pour moi. J'écris donc quand j'en ai le temps...
Il y a la saison de la lecture et la saison de l'écriture: en janvier 2014, j'ai démarré la rédaction de Innocenti. Et comme si j'étais mon propre lecteur où le spectateur d'une série, j'écris le soir, une heure ou deux selon le temps dont je dispose ou le sommeil... Durant un an je n'ai lu aucun livre: je lisais le mien, et j'inventais le fil de l'eau...
C'est mon divertissement du soir!
Ensuite tout s'accélère lorsque que durant deux mois les travaux de relecture s'accumulent... C'est là qu'il convient de lutter contre l'impatience voir son livre publié. Le faite d'être son propre éditeur procure évidemment plein d'avantages... Et permet de calmer son impatience!
(Atine Nenaud édite aussi quelques auteurs, je ne suis pas tout seul)...
note: lorsque j'écris je n'ai utilise jamais un système de dictée électronique je crois que j'en serais incapable.
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- Je viens de relire mes notes (un peu moins de 4 petites pages) et j'ai vu que le nom du tueur était revenu 5 fois, et pourtant, lors de la découverte, j'ai commencé à douter, c'est vraiment un coup de maitre.
Et un extrait que j'ai trouvé magistralement bien écrit. Alors je ne sais pas pourquoi c'est celui-là qui m'a marqué plus qu'un autre mais j'ai trouvé qu'il résumait ou plutôt présentait l'assassin sous un jour particulier, ainsi que son désir de vie. (chapitre 9) (surlignez le texte si vous souhaitez le lire.)
Et un extrait que j'ai trouvé magistralement bien écrit. Alors je ne sais pas pourquoi c'est celui-là qui m'a marqué plus qu'un autre mais j'ai trouvé qu'il résumait ou plutôt présentait l'assassin sous un jour particulier, ainsi que son désir de vie. (chapitre 9) (surlignez le texte si vous souhaitez le lire.)
Entre, Vincent. Viens voir cette pauvre Laure. Tu sais quoi ? Je veux que tu comprennes qu'il est trop tard pour elle. Je veux entendre ton estomac se tordre. Viens, viens voir. Je te laisse juste le temps de tes illusions. Et pendant le court instant où tu te penches sur elle, moi, je te sens, je t'entends et je vis encore.
- C'est vrai que dans cet extrait sommes au cœur du problème. Jusqu'à l'extrême fin, (surlignez le texte si vous souhaitez le lire, spoilers) j'ai souhaité cacher Max, même si je lui donnais la parole.
Vous imaginez bien À quel point je me suis amusé, puisqu'à ce moment, et à chaque instant, ... J'étais le seul à savoir (héhéhé...)
Vous imaginez bien À quel point je me suis amusé, puisqu'à ce moment, et à chaque instant, ... J'étais le seul à savoir (héhéhé...)
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Et lorsqu'il nous a demandé si l'on savait quel visage avait Laure, l'un des personnages du roman, j'ai gagné la palme de la déduction la plus rapide ! « Une femme sublime, un côté ange/démon qui ne demande qu'à s'exprimer. »
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Voilà voilà, je vous conseille l'article de Clioze, qui lui a posé d'autres questions, et si vous écrivez un article de vos interrogations, n'hésitez pas à me le mettre en commentaire, je l'ajouterai à l'article :) Donc voilà, une nouvelle fois, j'aimerai remercier très vivement Eric Descamps pour ses réponses et sa gentillesse et Livraddict de nous avoir donné la possibilité de cette rencontre.
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