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jeudi 6 février 2014

06. Théâtre universitaire, volume 01.

Sous les conseils d'une amie faisant partie d'une troupe de théâtre étudiante et pour m'aider à vaincre cette timidité maladive qui me fait perdre mes moyens (et mon cerveau) devant des évaluateurs, j'ai rejoint une bande de siphonnés du ciboulot à la rentrée et la semaine prochaine, c'est notre tout premier spectacle. La cotisation ne se montait pas trop haut étant donné qu'il s'agit uniquement d'avoir une assurance au cas où et que l'on fait avec les moyens du bord et ce que l'on a à la maison pour les accessoires.

L'ambiance tout d'abord est géniale ! Je ne suis pas une personne extrêmement sociale, j'ai mon petit groupe d'amis et point. Mais eux t'adoptent super vite, demandent des câlins, t'invitent à des soirées. C'est étonnant ! Je ris beaucoup, toutes les semaines ça ne manque pas, tant pas les exercices qui voient régulièrement les consignes changer en plein milieu que par le côté technique.

Malheureusement, il y a beaucoup de retardataires ou d'absent, une assez mauvaise organisation étant donné que nous sommes tous étudiants, même les profs, et que nous devons gérer les partiels et les répétitions. Certaines scènes ne sont pas approuvés par tout le monde, sauf que nous sommes en dict... démocratie et donc nous n'avons rien à dire...

Donc, dans une semaine, le 12 février, nous présenterons « La mort nous va si bien », mais pour l'instant ce n'est pas du tout prêt ! Hier c'était la générale, il y avait encore trop d'improvisation, nous ne parlons toujours pas assez fort. Mais on y arrivera, n'est-ce pas ? En conclusion, je vous incite à essayer s'il y en a pas loin de chez vous ou dans votre université, c'est plutôt sympathique et permet de souffler un peu. Et puis rire rallonge la durée de vie, c'est toujours bon à prendre ! Rendez-vous la semaine prochaine pour vous dire si ça c'est bien passé !

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